mardi 28 février 2023

RÉFORME DES RETRAITES - #STOP64ANS MOBILISATION 7 MARS

 Publié le 24/02/2023 sur CFDT.FR

Retrouvez ci-après tous les outils intersyndicaux #stop64ans pour la mobilisation du 7 mars

- Affiche A1 #stop64ans avec traits de coupe

- Affiche A2 #stop64ans avec traits de coupe

- Affiche A3 #stop64ans avec et sans traits de coupe

- Visuels réseaux sociaux #stop64ans - formats JPEG et PNG

GRÈVE CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES : LES ADHÉRENTS INDEMNISÉS

 Publié le 24/02/2023

Article complet sur CFDT.FR

Le Conseil national confédéral (CNC) a voté à l’unanimité, l’indemnisation des jours de grève à la suite de l’appel à mobilisation de la Confédération contre la réforme des retraites. Grâce à cela nos adhérentes et adhérents grévistes peuvent se faire indemniser.

QUELLES CONDITIONS POUR ÊTRE INDEMNISÉ·E ?

  • Avoir adhéré avant le 19 janvier 2023.
  • Être à jour de ses cotisations. Les adhérentes et adhérents ayant cotisé depuis moins de 6 mois peuvent bénéficier d’une demi-prestation grève.
  • Avoir cumulé un minimum de 6 h 45 de grève (3 h 23 si vous êtes à mi-temps) sur les dates de préavis CFDT à savoir les : 19 janvier, 31 janvier, 7 février, 11 février, 16 février et 7 mars (et celles éventuellement à venir). Cela peut être 6h45 sur une même journée ou 6h45 de grève cumulées sur plusieurs jours de mobilisation.
  • Faire parvenir par mail à votre syndicat:

- votre NPA (numéro personnel d’adhérent·e CFDT).

- vos fiches de paie, complètes et lisibles, sur lesquelles apparaissent les retenues liées à la ou les journées de grève.

C’est votre syndicat qui se chargera ensuite de faire la demande d’indemnisation. C’est lui et seulement lui qui est habilité à en faire la demande.

Vous trouverez ses coordonnées sur votre espace adhérent

 

Attention : vous avez 6 mois pour déposer votre demande, à défaut elle sera rejetée pour dépôt tardif !

 

JE SUIS INDEMNISÉ·E À HAUTEUR DE :

  • 7,70 euros par heure si je suis adhérent·e depuis plus de 6 mois,
  • 3,85 euros par heure si je suis adhérent·e depuis moins de 6 mois.

 

mercredi 22 février 2023

PÉTITION INTERSYNDICALE RÉFORME DES RETRAITES : NON À CETTE RÉFORME INJUSTE ET BRUTALE !

Publié le 11/01/2023 (mis à jour le 15/02/2023)

Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation. Signez la pétition intersyndicale pour dire non à cette réforme injuste et brutale !

Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l'indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Ce projet gouvernemental n'a rien d'une nécessité économique, c'est le choix de l'injustice et de la régression sociale.

Renforcer notre système de retraites nécessite en revanche des mesures de progrès et de partage des richesses.

D’autres solutions sont possibles ! Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »

bouton-petition

 

logos intersyndicale pétition réforme des retraites 

COMMUNIQUÉ INTERSYNDICAL : ENSEMBLE, LE 7 MARS, METTONS LA FRANCE À L’ARRÊT !

Publié le 22/02/2023

Par CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, Solidaires, FSU, Unef, la Voix lycéenne, FAGE, FIDL, MNL

Les organisations syndicales et de jeunesse saluent la mobilisation de ces millions de travailleurs.euses, jeunes, retraité.e.s qui, depuis le 19 janvier, expriment leur opposition à cette réforme des retraites. Ils et elles sont déterminé.e.s à empêcher le recul de l’âge légal à 64 ans et l’allongement du nombre de trimestres, ce qui aurait pour effet de faire aussi baisser plus rapidement leurs pensions.

Malgré la propagande du gouvernement qui ne convainc pas du bien-fondé de sa réforme, l’écrasante majorité de la population comme 90% des salarié.e.s font preuve de « bon sens »  et rejettent cette réforme brutale, inacceptable et inutile.

En opposition à ce projet de réforme des retraites, l’unité des organisations syndicales a construit un mouvement social solide, déterminé, ancré dans le paysage social de tout le pays. Il révèle également l’inquiétude face à la désertification des territoires, le manque de services publics, les incertitudes en matière d’emploi, de salaires et de pouvoir d’achat.

En complément de ces manifestations, c’est plus d’un million de personnes qui ont signé et diffusent la pétition en ligne proposée par les organisations syndicales. Cette opposition à la réforme touche désormais toutes les strates de la population.

Malgré cela, le gouvernement et le président de la République restent sourds et dégradent la cohésion sociale du pays en refusant toujours de retirer ce projet injuste.

C’est pourquoi, comme annoncé lors du précédent communiqué le 11 février, l’intersyndicale réaffirme sa détermination pour mettre la France à l’arrêt le 7 mars prochain en appelant les travailleurs.euses à participer massivement aux manifestations et à se déclarer en grève. 

Les organisations syndicales professionnelles et de jeunesse continuent leurs actions d’information et de conviction pour élargir encore le mouvement social. Le 7 mars doit être une véritable journée morte dans les entreprises, les administrations, les services, les commerces, les écoles, les lieux d’études, les transports…

Pour y parvenir, elles organisent partout régulièrement de nombreuses initiatives publiques sur les lieux de vie et appellent la population à y participer.

Elles interpellent localement les parlementaires sur la base du courrier commun qui leur a été adressé, pour qu’ils votent contre cette réforme.

Elles se saisissent du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, pour rendre visibles les conséquences particulièrement graves de ce projet pour elles.

Elles agissent avec les organisations de jeunesse qui militent sur leurs lieux d’études pour élargir     encore le rejet de cette réforme des retraites particulièrement injuste. Elles soutiennent aussi leur mobilisation du
9 mars pour améliorer notamment le système des bourses d’études.

Ensemble, dès le 7 mars, mettons un coup d’arrêt à ce projet de réforme des retraites inacceptable


 

L’intersyndicale réaffirme sa détermination à “mettre la France à l’arrêt” le 7 mars

Temps de lecture 3 min

Le 21 février, l’intersyndicale a appelé à faire du 7 mars une “journée morte” contre la réforme des retraites.

Par Nicolas Ballot— Publié le 22/02/2023 à 11h51
Nicolas Ballot 
rédacteur en chef de Syndicalisme Hebdo et de CFDT Magazine


© Syndheb

Réunies en intersyndicale le mardi 21 février au siège de la CGT, à Montreuil, la CFDT, la CFE-CGC, la CGT, la CFTC, FO, la FSU, Solidaires, l’Unsa et l’ensemble des organisations de jeunesse ont, sans surprise, confirmé que « le 7 mars doit être une véritable journée morte dans les entreprises, les administrations, les services, les commerces, les écoles, les lieux d’études, les transports… », pour s’opposer à la réforme injuste et brutale des retraites portée par le gouvernement.

En effet, alors que « l’unité des organisations syndicales a construit un mouvement social solide, déterminé, ancré dans le paysage social de tout le pays » et qu’« en complément de ces manifestations, c’est plus d’un million de personnes qui ont signé et diffusent la pétition en ligne proposée par les organisations syndicales », note le communiqué commun, « le gouvernement et le président de la République restent sourds et dégradent la cohésion sociale du pays en refusant toujours de retirer ce projet injuste ».

|| COMMUNIQUÉ DE PRESSE INTERSYNDICAL || Ensemble, le #7mars, mettons un coup d’arrêt à ce projet de réforme des #retraites inacceptable, mettons la France à l'arrêt ! https://t.co/cddRjieqYp #ReformeDesRetraites #64ansCestNon pic.twitter.com/CMMpc0lFZi— CFDT (@CFDT) February 22, 2023


“Monter d’un cran”

Concrètement, l’intersyndicale appelle « les travailleurs et les travailleuses à participer massivement aux manifestations et à se déclarer en grève » le 7 mars. Et afin de préparer au mieux cette mobilisation qui s’annonce massive, les organisations syndicales « organisent partout régulièrement de nombreuses initiatives publiques sur les lieux de vie et appellent la population à y participer » ; elles « interpellent localement les parlementaires sur la base du courrier commun qui leur a été adressé pour qu’ils votent contre cette réforme ».

Comme le résume le secrétaire national de la CFDT Yvan Ricordeau, « le 7 mars doit être la journée majeure de la contestation, bien au-delà du 31 janvier. Il y a un consensus entre nous pour monter d’un cran ! Et en ce qui concerne la suite du mouvement, l’intersyndicale verra le moment venu ».

mardi 21 février 2023

4 CONSEILS POUR SAVOIR DIRE "NON" AU TRAVAIL

 Justine Kent  
DOSSIER : S'épanouir au travail

Que vous soyez manager, cadre ou agent, savoir dire non au travail n’est jamais aisé. Il faut tenir compte du contexte, de la psychologie de la personne qui vous sollicite, ainsi que de votre relation avec votre administration. On vous explique comment faire.

dire non au bureau

1. Ne vous précipitez pas avant de dire non

Demandez un délai de réflexion

La demande, si elle émane d’un collègue ou de votre supérieur hiérarchique, n’appelle pas la même réponse.

Mais dans tous les cas, prenez un temps pour peser le pour et le contre.

Si la requête l’autorise, n’hésitez jamais à demander un délai de réflexion : "Je vais y réfléchir".

Prenez le temps d'écouter votre interlocuteur

Il faut avant tout écouter la demande sans interrompre la personne, même si vous savez que celle-ci est impossible.

Reformulez la demande pour la légitimer et montrer que vous ne la prenez pas à la légère.

Dans tous les cas, ne répondez pas dans l’instant et donnez un délai.

Abordez le sujet un jour où vous êtes au bureau, plutôt qu'en télétravail.

2. Trouvez des arguments valides à votre refus

Durant le délai que vous avez obtenu, préparez vos arguments.

Analysez d’abord les éléments de contexte :

  • temps
  • durée de la tâche qui vous est demandée
  • outils
  • aide dont vous auriez besoin...

Puis étudiez la demande au regard de vos compétences, aptitudes et missions en cours.

Ce travail vous permettra d’objectiver votre explication sans vous justifier.

>> A lire aussi : Comment organiser un pot de départ dans la fonction publique ?

3. Expliquez sans justifier votre réponse négative

Le refus ne doit pas engendrer un conflit

Pour formuler une réponse négative, il faut pouvoir argumenter sur le ton de l’explication et non sur le ton de la justification.

La réponse doit être donnée en face à face à la personne qui vous a sollicité d‘une voix claire avec des phrases courtes.

Le contexte est un élément qui peut vous obliger à dire non.

Exemple :

« Dans l’état actuel du service, il m’est difficile de répondre positivement à cette requête ».

Restez positif malgré votre réponse négative

Il importe que la réponse soit perçue le moins négativement possible. Le but n'est pas de générer de différends entre agents.

Si vous êtes manager, il est parfois utile que la réponse à un collaborateur soit portée face au collectif, notamment si sa demande implique ou impacte le service dans lequel il travaille.

Dans ce cas, la réponse de la non-attribution d’une allocation de ressource ou de moyen pour la mise en œuvre d’un budget ne peut se faire seulement lors d’un face à face.

Cette étape nécessitera un moment collectif pour que l’équipe comprenne la décision. Dans tous les cas, la décision doit être la plus rationnelle possible.

>> A lire aussi Premiers secours en santé mentale : des formations pour les agents public

4. Trouvez une solution de substitution à votre refus

Soyez proactif malgré votre refus

La méthode du « non, mais… » permet bien souvent de contourner la difficulté.

Expliquez à un collaborateur : « je comprends ton souci, mais je ne peux pas t’aider en ce moment.

Pourquoi ne pas mettre en place telle ou telle stratégie… ».

Projetez-vous

La question du temps peut aussi aider :

« Je ne peux pour l’instant répondre à ta demande pour X et X raisons mais je te propose que nous en reparlions le mois prochain… ».

Vous montrez ainsi que vous avez vraiment réfléchi à la demande.

L’objectif, ce n’est pas que le collègue partage votre avis mais qu’il ait le sentiment d’avoir été écouté.

La méthode sera la même pour le manager de manière à éviter les crispations.

QUAND VAIS-JE RECEVOIR MA PAIE OU MA PENSION MENSUELLE EN 2023 ?

 Publié le 09/12/2022

Source : CFDT Fonctions Publiques

Calendrier prévisionnel 2022 des dates de paiement des payes et des pensions des fonctionnaires et retraités de l’État.

Le versement effectif peut varier d’une journée selon les établissements bancaires.

mercredi 15 février 2023

Relèvement du minimum de traitement dans la fonction publique à compter du 1er janvier 2023

Grilles des Salaires au 01 janvier 2023 (mise à jour du 14-02-23)

Publié le 
cfdt-ufetam.org

Cliquez sur l'image pour accéder à la Grille de salaire



 

Mise à jour du 14-02-23 : nouvelle grille des Administrateurs de l’Etat

Mise à jour du 13-01-23 : ajout grille des Administrateurs des Affaires Maritimes

Le contexte :

Depuis le 1er janvier 2022, plusieurs changements ont affecté les diverses grilles indiciaires :

Les grilles indiciaires proposées ci-dessous sont modifiées en conséquence. Elles sont toutes présentées au 1er janvier 2023, même si pour certaines, il n’y a pas de changement.

Au passage, vous noterez l’absurdité de la grille de catégorie C dont les 7 premiers échelons de C1 sont tous à l’indice 353 (minimum de traitement), et donc des agents de catégorie C qui gagneront  … 2 points au bout de … 9 ans, soit 7,44 euros !!!

La CFDT demande toujours une rénovation complète de ces grilles.

Note : Les grilles de salaires fonctionnent également pour les agents de l’Agriculture (MASA) pour les corps équivalents (TSDD=TSMA, SACDD=SA, Adjoints Administratifs, Adjoints techniques, Attachés). Pour les IAE, une grille vous est proposée dans la liste ci-dessous.

Pour mémoire : Le “à payer” correspond à un salaire, basé sur des indices, prenant en compte la retenue Pension (11,10%) ainsi que les CSG (9,2%) & CRDS (0,5%) appliqués sur 98,25% du salaire brut.
Ne sont pas prises en compte les primes (IR, PFR, RIFSEEP, PSR, IAT, NBI, …), ni la RAFP (Retraite Additionnelle de la Fonction Publique qui s’applique en partie sur les primes), ni l’Indemnité de Résidence (1% et 3%), ni l’indemnité compensatrice de la hausse de la CSG.
De plus, depuis le 01/01/2019, le prélèvement de l’impôt à la source (PAS) est effectif sur vos bulletins de paie, mais bien évidemment ne peut pas être intégré dans le “à payer” de nos grilles.

“Nous allons franchir une nouvelle étape”

 Extrait de l’hebdo n°3861

Avant la cinquième journée de manifestations, la CFDT hausse le ton en exigeant du gouvernement qu’il réponde à ce mouvement d’une ampleur inédite. L’intersyndicale appelle d’ailleurs à mettre la France à l’arrêt le 7 mars – une expression assumée par Laurent Berger, qui parle d’une nouvelle étape de la mobilisation.

Par Jérôme Citron et Téo Mollet— Publié le 14/02/2023 à 14h00


© Stéphane Lagoutte/Challenges-RÉA

Déjà quatre mobilisations. Nous sommes à l’avant-veille de la cinquième, prévue le 16 février. Que peut-on encore dire aux salariés ?

Il faut leur dire que l’histoire n’est pas écrite. C’est un combat difficile. On le savait quand on s’est lancé. Une majorité de Français sont à présent persuadés, comme nous le martelons depuis le début de la mobilisation, que le report de l’âge légal à 64 ans est une mesure injuste qui frappe surtout les travailleurs intermédiaires et modestes. Le risque, c’est que ces mêmes personnes estiment que la réforme va passer quand même. Il faut les convaincre de continuer à se battre, que rien n’est joué.

Les premières mobilisations ont été exceptionnelles. On ne pensait pas forcément, au début du mouvement, avoir la capacité de mettre autant de salariés dans les rues avec les problèmes de pouvoir d’achat que nous connaissons, avec la fatigue perceptible de la société. Le 16 février, et surtout le 7 mars, nous allons franchir une nouvelle étape. Les militants CFDT doivent poursuivre ce travail de conviction auprès de leurs collègues. C’est leur investissement qui explique que nous avons, pour l’instant, gagné la bataille de la rue comme celle de l’opinion.

Le 16 février, les leaders syndicaux iront tous manifester à Albi. Pourquoi ce choix ?

Outre qu’Albi [Tarn/Occitanie] se situe dans une région qui ne sera pas en vacances dans la période, nous souhaitions braquer le projecteur sur l’un des traits marquants de ce mouvement social : l’énorme participation dans les petites et moyennes villes françaises. C’est un phénomène inédit. Il y a une France du travail qui veut affirmer qu’elle existe, qu’il n’y a pas que les métropoles qui comptent. C’est un phénomène que l’on avait déjà vu avec les gilets jaunes. Il y a une demande de respect, de reconnaissance. C’est une France qui a le sentiment d’être un peu abandonnée. On mesure dans ces territoires le recul des services publics, les difficultés d’accès à la santé, les problèmes de conditions de travail dans les petites entreprises…

Lire la suite sur syndicalismehebdo.fr

mardi 14 février 2023

ÉGALITÉ PROFESSIONNELLE : UN ACCORD BIEN VIVANT

 Publié le 02/11/2022

jeudi 2 février 2023

Dopés par la mobilisation, les syndicats fixent deux nouvelles dates en février


 



Forte du succès de la deuxième journée de mobilisation, et face au mutisme du gouvernement, l’intersyndicale, réunie le 31 janvier au soir, a décidé de poursuivre le mouvement en appelant à deux journées de mobilisation, les 7 et 11 février.

Par Anne-Sophie Balle— Publié le 01/02/2023 à 11h26

« Face au jusqu’au-boutisme du gouvernement, sourd au rejet exprimé par la totalité des organisations syndicales et l’immense majorité des citoyens », l’intersyndicale a décidé de resserrer les rangs. En appelant à deux journées d’action, les mardi 7 et samedi 11 février, elle fait le choix d’amplifier la mobilisation, déjà annoncée comme l’une des plus grosses de ces vingt-cinq dernières années. « Le gouvernement doit entendre le mécontentement et retirer sa réforme », assène l’intersyndicale.