mardi 29 août 2023

ABONNEMENT AUX TRANSPORTS PUBLICS : L’EMPLOYEUR PUBLIC PREND DÉSORMAIS 75% DU MONTANT EN CHARGE

 Publié le 24/08/2023

mardi 8 août 2023

QUALITÉ DE VIE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL : UN RÉFÉRENTIEL POUR LA NÉGOCIATION

 Publié le 28/06/2023 Par CFDT Fonction publique

Le premier plan santé au travail de la Fonction publique (2022-2025) s’articule autour de la qualité de vie et des conditions de travail. La DGAFP publie un référentiel de la négociation sur ce sujet à l’endroit des employeurs.

TÉLÉCHARGEMENT DE FICHIERS

AUGMENTATION DU POINT D’INDICE AU 1ER JUILLET : SIMULATEUR DE LA CFDT FONCTION PUBLIQUE

 Publié le 07/07/2023 par CFDT Fonction publique



La CFDT Fonction publique vous propose un simulateur pour calculer le montant de l'augmentation de votre rémunération brute qui prendra effet le 1er juillet, avec un effet rétroactif si elle n’apparait pas sur la paie de juillet.

La CFDT a exigé, et obtenu, que l'ensemble des éléments de rémunérations indexés sur la valeur du point soit également concerné, dont le complément de traitement indiciaire (49 points d’indice) instauré par le Ségur. L’augmentation de ces éléments de rémunérations seront à rajouter à l’augmentation de votre traitement brut.


[REVUE CADRES] QUALITÉ DU DIALOGUE SOCIAL


Nous avons manifesté face à un pouvoir faiblement intéressé par la social-démocratie. Or, la démocratie sociale enrichit la démocratie politique.


Revue Cadres n°497QUALITÉ DU DIALOGUE SOCIAL, REVUE N°497 (JUILLET 2023)

Le numéro 497 de Cadres aborde la qualité du dialogue social avec la participation de Yvan Ricordeau, Michel Sailly, Rémi Bourguignon, Charline Monin, Guy Groux, Juliette Fronty, Florence Lefresne, Laurent Tertrais,  et Laurent Berger. > Lire la suite

 

[ÉDITO] LA QUESTION SYNDICALE EN DÉMOCRATIE

par Laurent Tertrais, rédacteur en chef de la revue Cadres

Laurent Tertrais

Ce n’est pas la rue qui gouverne nous a-t-on rappelé cette année. La phrase exacte de Jean-Pierre Raffarin est : « la rue doit s’exprimer mais ce n’est pas la rue qui gouverne ». D’un point de vue strict, la légitimité du pouvoir est celle de la légalité : la rue n’est pas au-dessus des lois. D’un point de vue large, elle désigne ce qui paraît juste et moral selon le sens commun[1]. Dit autrement, la rue participe à la gouvernance, expression directe mais aussi de celle des représentants syndicaux eux-mêmes légitimés par des élections professionnelles, et d’autres critères fixés par la loi. Contrairement à l’argument populiste, la démocratie ne se résume pas à l’élection car la séparation des pouvoirs est ce qui permet à une société de vivre démocratiquement entre deux élections, à condition de ne pas survaloriser les pouvoirs de contrôle et de résistance. La démocratie dite « continue » consiste donc à faire émerger des acteurs non politiques mais légitimes dans un état d’esprit constructif. Ainsi la démocratie sociale est-elle une composante de la démocratie politique car elle l’enrichit, ce qui est essentiel dans le cadre d’un régime comme le nôtre à domination présidentielle soumettant le Parlement. En France, l’élection du Président est le pivot de la vie politique et l’argument d’Emmanuel Macron sur l’âge de la retraite est que celui-ci avait été tranché par sa réélection. C’est très présidentialiste, mais pas assez démocratique. La République du Président est un royaume sans intermédiaires. C’est le prix de la cohésion d’un pays passé de la monarchie à la démocratie laïque sans se démembrer. Résultat : l’Etat est le réceptacle des attentes et donc des déceptions. Les citoyens confient et contestent, comme nous l’ont rappelé la crise des « gilets jaunes » et le silence des abstentionnistes. C’est un rapport particulier au pouvoir : refus du lien de subordination et passion pour l’égalité. La revanche des serfs sur un millénaire de domination seigneuriale ? Le pouvoir ne se partage pas : on le donne ou on le renverse.

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La fonction publique aura son index Ega Pro

 Extrait de l’hebdo n°3884

Le Parlement a définitivement adopté, le 6 juillet, la proposition de loi “visant à renforcer l’accès des femmes aux responsabilités dans la fonction publique”. Ce texte prévoit notamment d’instaurer un index éga pro chez les employeurs publics. Mais, pour la CFDT-Fonctions publiques, le compte n’y est pas.

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Par Fabrice Dedieu— Publié le 25/07/2023 à 14h00

L’Assemblée nationale et le Sénat se sont mis d’accord sur la proposition de loi « visant à renforcer l’accès des femmes aux responsabilités dans la fonction publique », avant de l’adopter définitivement le 6 juillet dernier. Au menu, le rehaussement du quota obligatoire de primo-nominations aux emplois supérieurs des administrations de l’État, territoriales et hospitalières : fixé à 40 % depuis la loi Sauvadet du 12 mars 2012 appliquée à partir du 1er janvier 2013 (l’objectif a été atteint), ce quota passe à 50 % de personnes du même sexe. Une mesure qui s’appliquera entre 2026 et 2028, selon les administrations. Par ailleurs, à partir de 2027, la proportion de personnes de même sexe au sein des emplois supérieurs et de direction devra être au minimum de 40 %. Aujourd’hui, selon un rapport du Sénat, parmi les postes à responsabilités de la fonction publique, seul un tiers est détenu par des femmes – alors même que celles-ci représentent 63 % des agents publics, tous versants confondus.

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